Je m’appelle Thomas Renaud et j'ai le bonheur de diriger les équipes françaises de Stoïk. En tant que Directeur général France mon rôle principal est de définir la stratégie de Stoïk sur notre marché et de la déployer grâce à nos équipes. Nous nous sommes installés en acteur de référence sur le risque Cyber. Mais le potentiel est encore énorme.
Quel a été ton parcours avant d’arriver chez Stoïk ?
Je suis arrivé dans le secteur de l’assurance il y a plus de 15 ans, un peu par hasard. Après de nombreuses années dans le courtage, un milieu que je connais bien, j’ai exercé en tant qu’inspecteur commercial, animant un réseau d’agents généraux. Ensuite, j’ai pris part à divers projets au sein de la direction commerciale d’une grande compagnie d’assurance, notamment chez Gan Assurances, où j’ai travaillé sur des initiatives d’amélioration du réseau et de la satisfaction client.
J’ai rejoint Stoïk en mai 2022, à un moment où les fondateurs réfléchissaient à la manière de structurer la distribution via les courtiers pour qu’ils deviennent les interlocuteurs privilégiés des entreprises en matière de risque cyber. J’ai contribué à la construction de ce réseau, d’abord sur la région Ouest, avant que nous ne répliquions ce modèle dans d’autres régions.
Qu’est-ce qui te plaît le plus dans le monde de l’assurance ?
Ce qui me passionne, c’est la diversité des entreprises avec lesquelles nous interagissons. Chaque chef d’entreprise a des réalités, des préoccupations et des enjeux différents, ce qui rend chaque rencontre unique. C’est l’un des rares métiers qui permet de toucher à l’ensemble du tissu économique français.
Concernant le risque cyber, ce qui m’enthousiasme, c’est la prise de conscience grandissante de son importance. Longtemps perçu comme secondaire, il s’impose désormais comme un des principaux risques auxquels une entreprise peut être confrontée, au même titre que l’arrêt d’activité ou la disparition de l’entreprise. Ayant travaillé dans la prévention des risques incendie pour des industriels, je considère que le risque cyber est aujourd’hui le "risque incendie du 21e siècle" : une entreprise a plus de chances de périr à cause d’une cyberattaque majeure que d’un incendie, comme c’était le cas il y a encore 50 ans.
Pourquoi as-tu été attiré par Stoïk ?
Ce qui m’a immédiatement attiré chez Stoïk, c’est l’énergie des fondateurs et la capacité de notre CEO, Jules Veyrat, à fédérer des talents. Mais ce qui a également été décisif, c’est la qualité des porteurs de risque qui accompagnent Stoïk. Nous avons des partenaires solides, à long terme, comme Munich Re Ventures ou Tokio Marine HCC, ce qui assure la pérennité de notre projet.
Un autre point essentiel pour moi était la manière dont Stoïk aborde le risque cyber. Nous ne le voyons pas simplement du point de vue de l’assureur, mais nous nous mettons systématiquement à la place de l'assuré et du courtier pour que la proposition de valeur soit claire et compréhensible.
À quoi ressemble ta journée type ?
Depuis que j'ai pris la tête des équipes françaises en janvier 2025, mon quotidien se concentre autour de trois objectifs :
- définir et ajuster la stratégie de Stoïk sur le marché français, en conservant la souplesse et la réactivité qui ont fait notre succès à notre lancement
- installer au sein de nos équipes un cadre de travail optimal pour tirer de chacun le meilleur, au service du collectif
- représenter Stoïk en externe, que ce soit dans les échanges avec la presse, par des interventions de sensibilisation ou les dizaines de rencontres avec des acteurs du secteur
Ce qui fait des semaines bien rythmées et des journées... variées !
Comment ton travail a-t-il évolué depuis ton arrivée ?
Mon travail a évolué au rythme de la croissance de Stoïk. Lorsque j’ai commencé, je m’occupais d’une région encore en développement avec seulement 12 courtiers partenaires. Lorsque j'ai passé le relai sur cette belle région Ouest, nous en comptions près de 200, avec près de 1 000 entreprises assurées.
Je suis heureux aujourd'hui de pouvoir apporter mon expérience du terrain aux équipes, tout en ayant l'opportunité de regarder plus loin pour anticiper les besoins de nos courtiers et de nos assurés.
Qu’est-ce qui te plaît aujourd’hui dans ton travail ?
Ce qui me motive le plus, c’est d’avoir entre les mains la solution la plus performante du marché. Chez Stoïk, nous avons internalisé l’ensemble de nos services, ce qui nous permet une grande réactivité et une maîtrise totale de nos outils. Nos ingénieurs sont extrêmement disponibles, et cela se ressent tant pour nos assurés que pour nos courtiers.
Un autre aspect très gratifiant est de voir nos courtiers gagner en compétences sur le risque cyber, et de savoir que nous y avons largement contribué. Le lien de confiance que nous avons bâti avec eux est très précieux.
Quel est ton meilleur souvenir chez Stoïk ?
Mes meilleurs souvenirs sont liés à ces petites victoires du quotidien : lorsqu’un courtier qui ne s’intéressait pas au risque cyber finit par comprendre que c’est un enjeu majeur pour ses clients. Voir ce déclic se produire est extrêmement gratifiant.
Comment vois-tu l’avenir chez Stoïk ?
Je pense que d’ici 10 ans, le marché de l’assurance cyber aura explosé, probablement multiplié par cinq ou dix. Stoïk est l’un des acteurs qui fait avancer ce marché le plus rapidement, et je nous vois comme un leader en France et en Europe. Nous sommes déjà reconnus pour notre expertise technique, et cet ADN d’innovation et de maîtrise des risques cyber continuera de nous différencier, quels que soient les défis que nous aurons à affronter.