Je m’appelle Théo Poizat, j’ai 35 ans et je suis responsable du développement courtage chez Stoïk depuis avril 2023. Mon travail consiste à développer notre réseau de courtiers en leur proposant nos solutions d’assurances actives afin qu’ils équipent à leur tour leurs portefeuilles de clients. J’anime un réseau de plusieurs centaines de courtiers en assurance répartis sur toute la région Auvergne Rhône Alpes qui distribuent le produit d'assurance cyber Stoïk auprès de leurs clients entreprises.

Est-ce que tu peux présenter ton parcours ?

Cela fait 10 ans que je travaille dans cette industrie, après des études de droit j’ai travaillé chez différents assureurs spécialisés : Albingia, Sompo, Hiscox chez qui j’ai appris le métier de Souscripteur Développeur.

Je pratique le risque Cyber depuis 6 ans maintenant, j'ai connu les affres du marché, son retournement et je crois plus que jamais aujourd'hui en notre approche active du risque cyber, une compréhension fine et des solutions adaptées à chaque profil d'entreprise est la seule façon de développer cette branche de façon pérenne.

Pourquoi as-tu été attiré par Stoïk ?

Lorsque le marché à commencé à se retourner, les acteurs anglo-saxons ont fait un virage à 360°, les politiques, les appétits, les conditions d’accès se sont restreints et nous avons dû changer de cap pour poursuivre le développement de la ligne Cyber.

Dans le même temps, Stoïk arrivait avec une ligne de conduite claire, celle d’une approche technique, proactive du risque Cyber.

J’ai d’abord vu Stoïk comme outsider, puis challenger, puis réel concurrent avant de comprendre que c’était finalement la seule façon d’appréhender le sujet notamment grâce aux outils de cybersécurité et à la réponse à incident internalisée qui permettent de limiter la fréquence et l’intensité des cyberattaques.

À quoi ressemble ta journée type ?

Ça change tous les jours, mais le fil conducteur est le contact permanent avec nos courtiers, nous devons les rencontrer, les former, sans cesse les tenir informés des évolutions sur ce secteur qui est très mouvant. Nous avons également pour mission de faire en sorte que l’ensemble des équipes, techniques, d’ingénierie, de souscription travaille de concert pour servir toujours mieux nos courtiers. Nous travaillons également sur le développement de nouvelles offres qui permettent d’améliorer la posture de risque de nos assurés comme l’offre Stoïk MDR que nous déployons actuellement et qui vient s’ajouter au produit d’assurance cyber.

Ma journée type c’est donc de parler cyber, de développer la branche et de faire monter en compétence nos partenaires commerciaux.

Comment ça se passe quand un courtier veut assurer son client ?

Si on prend l’exemple d’un courtier qui est déjà familiarisé avec le cyber et qui équipe déjà ses clients en assurance cyber, voici les étapes types de la souscription :

1- Le courtier va rentrer le SIREN, le CA le nom de domaine de son client dans l’Espace Courtier Stoïk, ce qui va nous permettre d’identifier la saisine et de lancer le scan externe, un premier outil qui va générer un devis.

2- L’idée ensuite c’est de co-présenter cette tarification au client avec le courtier. Sur le segment de 0 à 50 millions de CA, ce sont nos CyberDiag qui interviennent aux côtés du courtier et sur les plus gros risques se sont nos équipes de souscription et d’ingénierie cyber.

Cette restitution permet aux futurs assurés de poser leurs questions et à nos équipes de répondre aux objections en temps réel afin de limiter cette défiance qu’ont beaucoup d’entreprises sur le risque cyber. Un risque qui bien souvent leur échappe parce qu’elles externalisent leurs données, font confiance à leur infogérant, pensent qu’elles sont moins à risque que la moyenne. On accompagne nos courtiers partenaires dans la déconstruction de ces idées reçues. Le risque cyber aujourd’hui est une réalité pour tous, mais souvent pas suffisamment pour franchir le seuil de l’assurance cyber.

3- C’est ensuite au courtier de faire valider par son client l’acceptation de notre offre.

4- Une fois que le client est assuré, nous envoyons un mail d’onboarding afin que notre plateforme Stoïk Protect soit installée (celle-ci fait partie intégrante de nos offres).

Utiliser ces outils est très important pour maintenir un bon niveau de risque chez l’assuré, de plus un client qui est satisfait par son outillage via Stoïk est un client qui va être satisfait et qui ne va pas vouloir changer d’assureur ou de courtier.

5- En cas de sinistre, je suis notifié, souvent c’est le courtier qui m’appelle pour m’informer. Je fais le lien avec les équipes cyber, je garde un oeil sur ce qui se passe sur l’astreinte cyber. Sur la partie indemnisation, on a la chance d’avoir une équipe de gestion de sinistres très compétente. Mon rôle est ici c’est de faire passer des messages, d’expliquer des décisions et d’appuyer le discours.

Nous avons un oeil sur tout : sur les affaires nouvelles mais aussi sur les contrats en portefeuille, on fait en sorte que les outils soient implémentés, que la statistique ne se dégrade pas, que les sinistres soient bien gérés, on s’assure de la rapidité des équipes à répondre aux demandes. Nous sommes de véritables chefs d’orchestre chez Stoïk, pour faire en sorte que tous les rouages soient bien huilés et qu’on puisse répondre sur tous les sujets en étant très réactifs et cohérents pour nos courtiers.

Comment est-ce que ton poste a évolué depuis ton arrivée chez Stoïk ?

Stoïk grandit et les objectifs sont très ambitieux ce qui implique beaucoup plus de travail. Je suis passé team leader de mon équipe ce qui implique également davantage d’investissement mais récompense aussi les efforts fournis.

Qu’est-ce qui te plaît aujourd’hui chez Stoïk ?

Plein de choses ! Le rythme, l’ambition, la vision, la stratégie : on sait pertinemment où on va, comment nous allons faire pour y arriver, on se donne tous les moyens d’y parvenir. Nous avons surtout la chance d’avoir été convaincu par un projet qui nous dépasse et d’être certains que les bonnes personnes sont au bon endroit pour le réaliser.

Quel est ton meilleur souvenir chez Stoïk ?

Je reviens tout juste de congé paternité, j’ai particulièrement apprécié quand les courtiers m’aient spontanément remerciés pour la qualité des échanges tenus tout au long de mon absence.

Ce qui a été relevé c’est la qualité, l’investissement de chacun à chaque étape des discussions et l’atmosphère qui règne au sein des équipes de Stoïk. Ce que j’aime donc, c’est que nous sommes dans un véhicule, qui va vite, mais tout le monde donne du sien pour le faire avancer.

Comment vois-tu l’avenir chez Stoïk ?

Brillant ! Nous ne sommes qu’au début, nous devons encore relever les manches et travailler dur, le marché s’adoucit, il y a beaucoup à accomplir notamment sur le bas et le moyen segment afin de faire évoluer le taux d’équipement, convaincre de nouveaux courtiers afin de nous aider à réaliser nos belles ambitions.