Je m'appelle Alban Dupin, j'ai 33 ans et je travaille chez Stoïk depuis un an et demi. Avant cela, j’ai débuté ma carrière il y a une dizaine d’années dans le secteur de l’assurance, en tant qu’inspecteur commercial chez Allianz, puis chez Gan Assurance. À l’époque, mon rôle consistait à animer un réseau d’agents généraux affiliés à ces compagnies.

Il y a presque deux ans, j’ai fait le choix de me spécialiser et de rejoindre Stoïk pour relever de nouveaux défis. Je suis basé à Aix-en-Provence et j’interviens sur tout le sud-est de la France, couvrant une zone qui s’étend de Carcassonne à Monaco, en passant par la Corse.

Qu'est-ce qui vous a attiré vers le secteur de l'assurance ?

Pour être honnête, je ne peux pas dire que c’était une vocation. J’ai été approché par Allianz, à une époque où je ne postulais pas spécifiquement dans ce domaine. Ce qui m’a convaincu, c’est le discours qu’ils m’ont présenté et la cohérence avec mes compétences. Ce que j’aime dans ce métier, c’est le contact avec le terrain, la possibilité de rencontrer des entrepreneurs indépendants, de les accompagner dans leur développement, et la variété des secteurs d’activité que l’on découvre.

Qu’appréciez-vous le plus dans votre rôle actuel ?

Ce qui me motive, c’est la mission sociale que remplit l’assurance. Prenons un exemple concret : sans assurance, de nombreuses entreprises pourraient se retrouver en grande difficulté face à des risques comme le cyber, les incendies ou la faute inexcusable. Cela va au-delà de la simple gestion des risques ; c’est un pilier de la préservation des emplois et de la stabilité économique. Chez Stoïk, nous mettons l’accent sur le risque cyber, qui est devenu un enjeu incontournable et insuffisamment couvert en France. Avoir un impact direct sur ce sujet, c’est très gratifiant.

Comment avez-vous perçu l’évolution du risque cyber ces dernières années dans le secteur de l’assurance ?

Quand je suis entré dans le secteur, le cyber était encore considéré comme une « zone interdite » pour de nombreux assureurs. Peu d’acteurs comprenaient ce risque, et encore moins étaient prêts à le couvrir. Mais la situation a radicalement changé. Les cyberattaques sont désormais omniprésentes, et leur fréquence dépasse celle des risques plus traditionnels comme l’incendie. Par exemple, il y a aujourd’hui beaucoup plus de probabilités qu’une entreprise ferme ses portes après une cyberattaque qu’après un incendie.

Chez Stoïk, nous avons compris que ce risque devenait central. Nous avons construit notre offre autour de cette prise de conscience, en proposant des solutions adaptées et faciles à souscrire, tout en formant les courtiers pour qu’ils puissent mieux accompagner leurs clients.

Qu'est-ce qui vous a motivé à rejoindre Stoïk ?

Plusieurs raisons. Tout d’abord, l’aspect novateur de l’entreprise. Stoïk propose une approche innovante dans un secteur souvent perçu comme conservateur. Ensuite, l’équipe. Travailler avec des professionnels brillants et engagés issus de divers horizons est extrêmement enrichissant. Enfin, la technologie. Notre plateforme, qui réduit la fréquence des sinistres et facilite la souscription, est un outil unique sur le marché et un véritable atout pour les courtiers.

Quelles sont vos missions principales chez Stoïk ?

Mon rôle consiste à former et à sensibiliser les courtiers aux risques cyber, afin qu’ils puissent mieux conseiller leurs clients. Je passe une grande partie de mon temps sur le terrain, en rendez-vous ou en accompagnement pour des dossiers spécifiques. J’interviens également pour répondre à leurs questions sur notre produit et les aider à monter en compétence sur ce sujet encore méconnu.

L’autre aspect important de mon travail est de promouvoir notre plateforme technologique, qui génère un effet « waouh » quasi systématique chez les courtiers. Sa simplicité et son efficacité leur permettent de gagner du temps et de mieux répondre aux attentes de leurs clients.

Pourquoi les courtiers étaient-ils réticents à aborder le risque cyber auparavant ?

Il y a plusieurs raisons. Beaucoup de courtiers n’étaient pas formés à ce risque et manquaient d’arguments pour convaincre leurs clients. De plus, il existe un retard culturel en France sur la prise en compte des cyberattaques, en comparaison avec des pays comme l’Allemagne ou les États-Unis. Par exemple, une entreprise sur cinq en Allemagne est équipée contre ce risque, contre seulement une sur trente en France.

Cela s’explique aussi par le fait que beaucoup pensaient que seules les grandes entreprises ou les institutions comme les hôpitaux étaient concernées. Mon rôle, aujourd’hui, est de les sensibiliser au fait que toutes les entreprises, quelle que soit leur taille ou leur secteur d’activité, sont vulnérables.

Quel est votre meilleur souvenir depuis que vous avez rejoint Stoïk ?

Je pense immédiatement à notre premier séminaire d’équipe dans le sud-ouest. En tant que responsable régional, je travaille souvent de manière assez autonome, et ces moments de regroupement permettent de renforcer les liens et de se sentir pleinement intégré à une entreprise internationale et dynamique. Aujourd’hui, avec des collègues venant d’Allemagne et d’Autriche, ces événements prennent une dimension encore plus enrichissante.

Comment voyez-vous l’avenir chez Stoïk, pour vous et pour l’entreprise ?

Stoïk est en pleine expansion, que ce soit en termes de clients, de marchés ou de capacités. Nous travaillons désormais sur des comptes de plus grande envergure et développons notre présence internationale. Pour ma part, je vois mon rôle évoluer vers davantage de gestion de grands risques et d’accompagnement stratégique des courtiers. Stoïk a un potentiel immense, et je suis ravi d’en faire partie.

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30 avril 2025
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